À court terme, une consommation excessive de sucre peut provoquer des éruptions cutanées, une prise de poids et une sensation de lassitude. À long terme, une quantité excessive de sucre augmente le risque de maladies persistantes, par exemple le diabète de type 2 et les maladies coronariennes. Dans cet article, découvrez l’essentiel sur la consommation excessive de sucre.
Manifestations d’une consommation excessive de sucre
Certaines personnes connaissent les manifestations suivantes après avoir consommé du sucre :
- Faible niveau d’énergie : Un rapport récent a montré qu’une heure après avoir eu un exces de sucre, les participants se sentaient épuisés et moins prêts qu’un autre groupe de référence.
- Faible humeur : Une enquête en 2017 a démontré qu’une plus grande consommation de sucre augmentait le rythme de l’abattement et des troubles de l’humeur chez les hommes.
- Ballonnements : Selon la Johns Hopkins Medicine, certaines sortes de sucre pourraient provoquer des ballonnements et des gaz chez les personnes souffrant de troubles liés à l’estomac, comme le syndrome du côlon irritable (SCI) ou la petite abondance bactérienne gastro-intestinale (SIBO).
Les dangers de la consommation d’une quantité excessive de sucre
L’ingestion d’une quantité excessive de sucre peut également entraîner des problèmes médicaux à long terme. On peut citer :
Les caries dentaires : le sucre prend soin des organismes microscopiques qui vivent dans la bouche. Lorsque les organismes microscopiques digèrent le sucre, ils produisent de la corrosion comme effet secondaire. Ce corrosif peut désintégrer la finition des dents, provoquant des ouvertures ou des caries dans les dents.
Les personnes qui ont l’habitude de consommer des aliments sucrés, en particulier au milieu des repas sous forme de friandises ou de boissons améliorées, risquent de favoriser la pourriture dentaire.
Les éruptions cutanées : une enquête menée en 2018 auprès d’étudiants en Chine a montré que les personnes qui buvaient des boissons sucrées sept fois par semaine ou plus étaient susceptibles de favoriser une inflammation modérée ou extrême de la peau.
En outre, un rapport récent propose que la réduction de l’utilisation du sucre puisse diminuer les variables de développement semblables à l’insuline, les androgènes et le sébum, qui pourraient tous contribuer à l’inflammation de la peau.